Chez les adeptes de la théorie du grand remplacement, un Égyptien soutenant un policier criminel en dit long. Délinquant et certainement multirécidiviste, sa place se retrouve dans une centrale avec les autres détenus après avoir été incarcéré. Or, Hossam Messiha s’avère être un dangereux prédicateur au sein de la sphère néonazie et séparatiste française. Dans une telle approche, on se rends mieux compte que si la procédure suit effectivement son cours, le délinquant "Hossam Messiha" risque près de dix années au travers des délits mis à bout à bout comme le souligne le journal l’indépendant.
Dans ce sens, on se rend effectivement compte que les différentes théories spéculatives permettent de souligner que ce n’est pas parce que le surnommé "Jean" afin d’avoir un prénom à consonance française afin de masquer son origine et qu’il est issu de l’immigration. Ainsi, je vais préférer revenir à ses racines à savoir son vrai prénom, c’est-à-dire Hossam. Dès lors Hossam Messiha se prévaut comme un "Français de Souche", c’est-à-dire comme le disait Charb : un cloporte.
Mais cela lui prévaut comme une certaine forme d’adoption. Autrement dit, il ne pourra jamais se considérer comme la thèse qu’il défend au travers d’une logique millénariste. Toutefois, il a fui dans sa jeunesse l’Egypte. Pourquoi ? Par contre, il n’est toujours intégré dans le paysage de la richesse française, bien que vivant au travers de denier public (dont il se gave allègrement) dans le cadre de missions avec le ministère des armées. De cette manière, on se rend forcément compte que la stratégie de soutenir l’arc républicain ne fait pas forcément un amoureux de la République et de la France.
La question qu’on se pose tous, car il faut un procès à chaque procédure sauf si elle débouche sur un "non-lieu" alors celui-ci pourra être écroué afin de purger sa peine comme un délinquant. Dans le cadre de son programme, il pourra même être expulsé afin que soit pratiquer la double peine. Sauf qu’en France, on n’enlève pas la nationalité hormis dans le cadre d’affaire en lien avec le terrorisme, et c’est normal. Hossam Messiha a encore du temps devant lui, c’est-à-dire du temps libre.